Le photographe sur le qui-vive est comme l’amoureux qui attend une belle amie.
Parfois elle ne vient pas, ou bien celle qui arrive n’est pas celle qu’il attendait.
Qu’importe!
Ce qui compte c’est l’émotion, et l’aptitude à capturer son passage.
Willy Ronis
dimanche 2 décembre 2012
Qui bois la gnole, casse la bagnole!
L'alambique est la ce weekend aux Houches, je vous remet quelques vielle photos de l'année dernière.
on peut retrouver l'ambiance mais malheureusement pas les odeurs...
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