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Le photographe sur le qui-vive est comme l’amoureux qui attend une belle amie.

Parfois elle ne vient pas, ou bien celle qui arrive n’est pas celle qu’il attendait.

Qu’importe!

Ce qui compte c’est l’émotion, et l’aptitude à capturer son passage.

Willy Ronis

jeudi 15 mars 2012

Kandahar 2012n°2

Après la descente voici le slalom,









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